Il y a quelques jours, Netflix a sorti sa nouvelle série originale : Sex Education. Dans ce film, Otis, joué par Asa Butterfield (le garçon en pyjama rayé), un garçon incapable de se masturber a une réponse à toute question sur le sexe grâce à sa mère sexologue et un partenaire l’encourage à ouvrir une « clinique » au lycée.

Un très bon début pour la nouvelle série

original mais très improbable, j’ai du mal à croire l’histoire. Mais, étonnamment, ça finit par s’accrocher d’une façon géniale. C’est en grande partie grâce aux personnages d’Otis et de Maeve, les protagonistes qui, au fur et à mesure que l’intrigue avance, avancent eux aussi.

L’intrigue a cette tache d’acide que seul le sexe peut donner mais le sexe est utilisé intelligemment et pas de façon obscène. Chaque épisode nous montre un cas différent et une solution d’Otis qui tente de résoudre ses propres problèmes.

Je me fais refouler par de nombreux personnages surdoués comme Adam et Eric. Et la série est pleine de situations honteuses qui vous font quitter l’écran des yeux pour la honte des autres. C’est très improbable, une réaction exagérée et des situations stupides par la force. C’est le pire de la série avec la fin.

Un point merveilleux est le rythme, on ne s’ennuie jamais.

Les cinquante minutes deviennent courtes et vous en voulez de plus en plus. C’est concis et sans paille (je ne vais pas rendre la blague facile). Et techniquement, je tiens à souligner la main des réalisateurs, Kate Herron et Ben Taylor. Ils ont su transformer une grande idée en une grande série. (Chacun a dirigé quatre chapitres).

Et un autre aspect brillant est la photographie

avec des plans étonnants et des plans détaillés de maître. Il y aura une deuxième saison, donc j’espère que les faiblesses s’amélioreront. Quand ils le feront, ce sera une série cinq étoiles. Tu as vu Sex Education ? Donnez-nous votre avis sur les commentaires ou nos réseaux sociaux.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici